Ma question porte sur la concomitance des projets d'exportation du Rafale et de développement du SCAF. Si le SCAF valide l'excellence de la France et du couple franco-allemand, il peut aussi inquiéter d'éventuels futurs clients qui pourraient craindre que l'industriel ne soit pas en mesure de maintenir le niveau d'attention et de renouvellement du produit qu'il aurait été capable de maintenir s'il n'avait eu que le projet Rafale à suivre. Je pense en particulier aux possibilités d'exportation en Finlande et dans ma circonscription, en Suisse, car il s'agit d'une question stratégique pour les relations franco-suisses et l'intérêt industriel des deux pays. Pouvez-vous me rassurer sur ce point ?