Il y a des sensibilités nationales, et l'on sait que la France a historiquement défendu l'exception culturelle. Cette orientation n'était pas nécessairement partagée, sinon dans son principe en tout cas dans son ampleur, par d'autres pays. Mais les exigences liées à la mise en oeuvre de la directive SMA contribuent à unir ou, à tout le moins, à rendre plus homogène la vision des régulateurs européens, qui devront travailler bien davantage entre eux qu'auparavant pour que le texte s'applique de façon cohérente aux nouveaux opérateurs ; l'enjeu est essentiel et nous y travaillons beaucoup.