Si je comprends bien, la cellule d'accompagnement des MNA s'occupe de la prise en charge une fois que les jeunes ont été reconnus mineurs, l'évaluation étant confiée à la Croix-Rouge. Y a-t-il une différence en ce qui concerne la formation et l'engagement des travailleurs sociaux, notamment pour les régularisations ? On sait que les démarches sont un peu compliquées et que tout cela ne se fait pas forcément d'une manière automatique si l'on n'est pas dans un cycle d'apprentissage, par exemple.
En ce qui concerne la clef de répartition, que proposez-vous à la place ? Je suis rassurée, finalement, que des jeunes soient évalués chez vous. Vous le faites bien : continuez donc à le faire. (Sourires). S'il fallait transférer la compétence au plan national, à quel ministère devrait-on la confier ?