En l'espèce, nous avons su, conjointement avec la rapporteure, la garde des sceaux et le ministre de la culture, atteindre une ligne de crête. Celle-ci respecte cette valeur fondamentale : c'est à la justice, toujours indépendante, qu'il revient de déterminer si un contenu est légal ou illégal – et à elle seule.