C'est grave ; j'aurai l'occasion d'y revenir.
Autre point, madame la rapporteure : ceux qui distillent la haine doivent être connus et stigmatisés. L'impunité, ça suffit ! La peur et la honte doivent changer de camp. C'est pourquoi je propose que les auteurs de haine, souvent abrités derrière des pseudonymes, puissent faire l'objet d'un marquage. L'idée est simple : après quelques avertissements, la plateforme aura l'obligation de signaler, sur le compte, que tel est un multirécidiviste. Par le principe du shaming – de la honte publique – , les utilisateurs pourront identifier les auteurs de haine et feront peut-être preuve de davantage d'autodiscipline.