Par conséquent, nous demandons que les mineurs puissent saisir un signaleur de confiance associatif si eux-mêmes n'ont pas la force de procéder personnellement au signalement. Un tel statut n'est pas prévu par votre proposition de loi, madame la rapporteure. Pourtant, certaines associations – dont l'objet est par exemple la lutte contre le racisme ou contre l'homophobie – font déjà un excellent travail en ce sens,. Il serait dommage de se priver de leur concours.