Plusieurs méthodes sont possibles. Tout réside dans l'adéquation des moyens et la capacité du régulateur à en vérifier l'emploi. Prenons l'exemple des contenus terroristes : il existe aujourd'hui des bases de données partagées entre les opérateurs susceptibles de diffuser ces contenus. Cela pose d'ailleurs d'autres problèmes, puisqu'ils se les partagent entre eux, et que cela échappe au regard des pouvoirs publics, même si nous sommes en train de faire changer les choses.
Il me semble possible, par exemple, de taguer un certain nombre de contenus. En tout cas, plusieurs solutions techniques existent, qui posent chacune des questions, l'objectif étant que le régulateur soit en mesure de vérifier le caractère adéquat et approprié des moyens retenus.