Merci, madame la garde des sceaux, de l'avoir rappelé.
Mais on tolère aujourd'hui que les réseaux sociaux appartenant à des acteurs importants du numérique diffusent ces images et apportent ainsi leur caution à ces individus. Pitié, monsieur Mazars ! Je vous remercie pour votre réponse sympathico-hypocrite : c'est gentil, c'est bien, mais ce n'est pas le jour, nous dit-on depuis longtemps. Nous avons pour une fois l'occasion – peut-être la seule au cours de cette session – de faire bouger les lignes. Saisissons-la !