Vous dites dans votre rapport que le secteur financier est raisonnablement préparé à la rupture que constitue le Brexit. Pourriez-vous un peu développer le concept de « raisonnablement » ? Qu'est-ce que cela veut dire ? Sommes-nous prêts ou non ?
Sur l'extension de votre mission aux actifs numériques et le fait que, hélas, le visa n'est qu'optionnel sur les ICO, pourriez-vous nous dire si vous êtes prêts et si vous avez commencé à exercer cette mission ?
Beaucoup d'économistes et de banquiers pensent qu'on est à la veille d'une nouvelle grande crise financière. Dans cette hypothèse, quel rôle l'AMF peut-elle jouer ?