Madame la présidente, vous vous êtes attachée à évoquer la particularité de certains publics jeunes, femmes, seniors qui suppose un traitement particulier. Je souhaite, pour ma part, connaître l'avancée de la réflexion sur la situation des travailleurs précaires. En effet, si le Gouvernement est attaché à la qualité du travail et à la lutte contre la précarité qui génère de la pauvreté, nombre de nos concitoyens travaillent malgré eux à temps partiel ou très partiel. Comment pouvons-nous valoriser ces carrières, afin qu'une activité à temps partiel génère in fine une retraite plus favorable qu'un minimum vieillesse versé sans conditions d'emploi ?