L'Arménie ne demande pas vraiment une telle intégration. Elle nous aime peut-être plus, mais elle est un peu à part. Elle s'inscrit en cela dans la poésie d'Aznavour. Le tropisme russe existera toujours en raison de l'économie ; il est très difficile de faire autrement. La fraternité avec la France existera toujours aussi, parce que nous avons nos 500 000 Arméniens, et que l'amour a créé une sorte de dissémination républicaine.
Cela a été dit à plusieurs reprises, « non, je n'ai rien oublié »