Au terme de l'examen de ces trois conventions, je tiens à remercier les députés encore présents à cette heure avancée et à souligner combien elles ne sont pas du tout anecdotiques. Elles sont en effet considérées par les pays partenaires avec qui nous les signons comme des avancées – dont la portée varie, certes, selon les textes. Sachez en tout cas qu'elles représentent avant tout un gros travail de diplomatie, puis de rédaction, enfin de suivi. Je profite donc de l'occasion qui m'est offerte pour remercier les agents du Quai d'Orsay : dans leurs diverses fonctions, ils contribuent à cette diplomatie des petits pas qui, par touches, dessine notre vision des relations internationales.