C'est votre jusqu'au-boutisme qui les a poussés à agir de la sorte. Dans le pire des cas, leur action aurait décalé d'un ou deux jours l'annonce des résultats. Mais, au lieu d'ouvrir le dialogue, vous avez foncé tête baissée et commis une lourde faute politique en donnant des consignes absurdes au sein de votre ministère.