Vous avez terminé votre intervention, madame la ministre, en soulignant que, pour l'accès aux soins, le combat ne faisait que commencer. Sur ce sujet, qui nous tient à coeur, vous avez raison. Le combat, on le sait, sera de longue haleine.
Je vous félicite sur un point qui me tenait aussi à coeur : le dossier médical partagé et les plateformes numériques, formidable levier pour maximaliser le temps médical consacré aux patients. Les choses évoluent à nos yeux trop lentement, en revanche, sur les PADHUE. Jeanine Dubié vous le dira tout à l'heure : vous disposez avec eux d'un vivier important de médecins, et partant d'un temps médical supplémentaire à déployer.
Je fais mien le regret de Gilles Lurton : on ne peut demander aux parlementaires, et aux élus en général, de participer à l'élaboration de constats et d'être actifs dans leurs territoires respectifs tout en les écartant des instances délibératives lorsqu'elles définissent telle ou telle stratégie territoriale.