– Les États-Unis, comme souvent précurseurs, utilisent déjà les algorithmes dans le cadre judiciaire, tant en matière civile que pénale. Kompass, par exemple, est un logiciel qui évalue la probabilité de récidive d'un accusé en fonction d'une quarantaine de critères le concernant (sa situation familiale, ses précédents délits…) avec des dérives clairement discriminatoires.
Aux Pays-Bas, la justice utilise déjà les tribunaux numériques pour de petits litiges liés à la consommation.