Sur le dernier point, monsieur Pradié, je vous laisse assumer la responsabilité de vos propos. Pour ma part, j'aime l'État et je le respecte, ainsi que celles et ceux qui le représentent. Les mots ont un sens. Le seul fait de parler de mains propres, qu'il s'agisse de celles des élus locaux ou des préfets, me heurte. Il n'y a pas, d'un côté, des gagnants et, de l'autre, des perdants ; il y a des gens qui ont parfois des visions différentes de l'aménagement du territoire ; il n'y a pas, d'un côté, des préfets aux ordres d'un pouvoir politique et, de l'autre, des élus qui ne feraient pas de politique.