Il n'y a pas de conflit d'intérêts, il n'y a pas de volonté de « privilégier sa commune », comme vous l'avez affirmé, madame la rapporteure : si vous êtes dans cet état d'esprit, vous vous éloignez complètement du concept de commune nouvelle.
Dernier argument : si le maire de la commune la plus petite devient le maire de la commune nouvelle et cesse d'être le maire délégué de la commune qui l'avait initialement choisi, les habitants de sa commune d'origine pourraient le vivre comme un abandon. Si l'on veut faire vivre les communes nouvelles, il faut laisser aux communes qui ont choisi d'emprunter le même chemin leur identité.