Bien sûr ! Le ministère construira les plans de prévention et l'Agence sera son outil pour décliner les politiques au niveau territorial et les agencer avec celles qui existent déjà. L'Île-de-France s'est ainsi positionnée avec force sur les questions d'égalité homme-femme dans l'accès à la pratique et de lutte contre les discriminations. Dans les Hauts-de-France, le sport est un outil de réparation pour les femmes qui ont subi des violences conjugales. C'est notre politique ministérielle. Dans les directions régionales, les financements sont axés dans ce sens. Ce n'est pas parce que cette question sera inscrite parmi les prérogatives de l'Agence qu'elle sortira du champ du ministère. Au contraire, l'action s'en verra renforcée.