Je reprends l'argument des listes paritaires aux élections. Sans ces listes qu'on appelait alors « chabadabada », on n'en serait jamais arrivés à ce stade. Nous savons très bien qu'il y a des femmes prêtes à prendre des responsabilités, que ce soit dans le domaine sportif ou politique. Seule la loi peut nous faire avancer, parce que, dans ce domaine, il y a toujours mille explications – vous venez de nous en donner certaines –, qui font répondre à de bonnes questions avec de mauvaises raisons. La formulation doit être précise et exigeante.