On reconnaîtra les moyens dédiés au sport, peut-être pas en numéraire, effectivement, mais en bénévolat et en investissement des fédérations et du mouvement sportif. Et, nouveauté, on reconnaîtra les acteurs économiques qui s'investissent historiquement dans le sport.
Que l'État tende la main de cette façon à tous ces acteurs, il est vrai que c'est nouveau, et que cela peut susciter des inquiétudes au sein même d'un ministère. Mais il n'est aucunement question d'un désengagement de l'État.