Vous nous dites : parce qu'il est trop tard. Mais c'est bien le problème ! L'accord est déjà ficelé et, trois ans après sa signature, nous arrivons à la fin du processus ! Toute la difficulté consiste à faire croire que nous participons à un débat capable d'entraîner des modifications ; mais la réalité est que nous sommes supposés tout prendre de l'accord, le bon comme le mauvais ! Or notre volonté est de garder le bon, de supprimer le mauvais, de défendre nos agriculteurs et de faire confiance à la France des territoires !