Si François Hollande l'a signé au nom de la France, c'est qu'il devait y avoir, il y a seulement deux ans, une majorité pour le soutenir. J'ai été également rassuré quand j'ai vu qu'au Parlement européen, le 15 février 2017, les membres du parti Les Républicains avaient voté pour l'accord, de façon écrasante : douze voix pour et six abstentions.