Mme Dumont regrettait le flou de la déclaration no 20, adoptée par le Conseil de l'Union européenne en 2016, et nous interrogeait sur les conséquences d'un vote négatif. Là encore, les choses sont claires : le gouvernement français serait alors amené à notifier aux institutions européennes qu'il n'est pas en mesure de ratifier l'accord, ce qui aurait pour effet direct de remettre en cause son application provisoire.