J'approuve la demande de Pierre-Henri Dumont que soient réalisés un rapport et un suivi continu du CETA, et plus généralement des accords de commerce. Le ministre a également donné son aval. Nous devons disposer d'un suivi dans la durée, jalonné par un ou deux rapports annuels. Il ne devra pas se contenter d'être quantitatif, statistique et macroéconomique, comme c'est trop souvent le cas. J'aimerais qu'il soit également qualitatif et décliné par filière et par région. Dans une même région pourraient être suivies plusieurs exploitations de tailles différentes. Nous pourrions alors intervenir dès l'apparition de prémices de difficultés, en amont, sans attendre que la situation se dégrade.