Vous le mettez en avant en affirmant : « Rassurez-vous, l'accord comporte un veto écologique ! » Je rappelle que la commission Schubert indique au sujet de ce veto, dont Nicolas Hulot avait fait l'une des conditions de la signature du CETA, qu'il devrait empêcher un investisseur de déposer un recours contre un pays devant un tribunal d'arbitrage si la mesure incriminée vise à lutter contre le changement climatique.
On nous dit : « Vous l'avez ! » Justement, non : nous ne l'avons pas ! Un veto sert à bloquer un processus. Ici, le processus ne sera pas bloqué.