Ce matin ou hier encore, associations et ONG se sont manifestées. Près de soixante-dix organisations nous ont lancé : « Pas ce traité ! Ce n'est pas possible ! » Nous devons donc nous poser deux ou trois questions.
Voulons-nous, oui ou non, défendre une alimentation de qualité ? Rappelez-vous que c'était le mot d'ordre de la loi EGALIM, que nous avons votée ici même il y a presque un an.