Enfin, voulons-nous, oui ou non – et peut-être est-ce la question principale – , agir pour le climat ? Si tel est le cas, nous ne pouvons pas accepter un accord encourageant des modes de production qui surutilisent les énergies fossiles et qui déverseront dans l'atmosphère des tonnes de gaz à effet de serre supplémentaires. Voilà comment il faut poser le problème à ce moment du débat.
À bien y regarder, il semble que l'accord soit écrit selon des règles qui étaient valables il y a dix ans.