Les chambres des métiers et de l'artisanat ont évoqué un second sujet : le nouveau mode de financement de l'apprentissage est bien plus favorable aux CFA que le précédent. Elles ont demandé – ce qui est bon signe pour sa réception – l'autorisation d'accélérer la mise en oeuvre de la réforme, afin de bénéficier du nouveau système plus tôt que prévu. Nous réfléchissons aux moyens de les satisfaire.
En tout état de cause, pour les députés qui soutiennent le développement de l'apprentissage, quel que soit le banc sur lequel ils siègent, il n'y a qu'une chose à faire : demander aux régions de ne pas casser ni abîmer la transition. Tout sera effectué en douceur dès l'année prochaine.