Donner un peu plus de pouvoir aux personnes concernées dans l'école ou au directeur permettrait de répondre plus rapidement aux urgences qu'en étant affecté au mois d'octobre, si un élève a besoin de quelqu'un pour la rentrée. De plus, en restant trois ans dans la même école, le directeur nous connaîtrait et il y aurait un suivi d'équipe. Ceux qui affectent dans les postes sont à Rouen et le font au vu d'éléments statistiques mais sans connaître la réalité de l'école. Si c'est fait par le directeur…