Je voudrais revenir sur les aménagements d'examens. Sait-on pourquoi il y a cette différence entre les élèves notifiés par la MDPH et ceux qui n'ont qu'un PAP ? Y a-t-il une raison ?
Par ailleurs, vous avez évoqué le secret médical. Je souhaite que vous précisiez votre pensée : voulez-vous dire qu'il faut effectivement respecter le secret médical, ou au contraire permettre aux différents partenaires qui travaillent autour de l'enfant, de savoir certaines choses, de mieux connaître la pathologie de l'enfant pour l'aider à trouver sa place, à progresser, à être bien là où il doit être, notamment à l'école ?
Enfin, quel partenariat, selon vous, peut-on envisager entre l'Éducation nationale et le secteur médico-social pour une meilleure prise en charge ?