Je reviens sur les passerelles. Effectivement, le premier problème aujourd'hui est le manque de place, à tous les niveaux : dans les structures offrant un accompagnement soutenu, comme un IME, mais aussi dans celles dont la partie médico-sociale est plus légère comme les unités d'enseignement externalisées. Alors, les notifications MDPH se heurtent au réel : on a un certain nombre d'orientations, mais il n'y a de place nulle part.
On consent tout de même aujourd'hui un effort considérable pour toutes ces unités. L'idée consiste justement à ajouter davantage de souplesse grâce aux créations de nouvelles places. Ça ne réglera pas le manque de place, mais cela donnera plus d'efficacité.