Cette année m'a trop usée, j'ai besoin de respirer. Et puis, le regard des élèves reste quelque chose de très difficile à gérer. J'ai eu deux classes. Avec la première, tout s'est très bien passé : les effectifs étaient réduits et j'ai pu expliquer les choses. Dans l'autre, j'avais trente-sept élèves et je ne m'en sortais pas : ils profitaient de la situation, notamment du fait que je ne peux pas me retourner rapidement.