Intervention de Cécile Rilhac

Réunion du jeudi 18 juillet 2019 à 9h30
Commission d'enquête sur l'inclusion des élèves handicapés dans l'école et l'université de la république, quatorze ans après la loi du 11 février

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCécile Rilhac :

Certes, mais qu'elle soit enseignée dès la maternelle représenterait un progrès majeur.

Je ne peux qu'être d'accord avec le sujet des enseignants référents. Nous aurions pu insister sur le fait qu'il faudrait un référent en poste dans les établissements publics locaux d'enseignement (EPLE) et pas seulement dans les unités localisées pour l'inclusion scolaire (ULIS). Il pourrait être intéressant d'y avoir des personnels référents en matière de handicap, tout comme il y a actuellement des référents culture, numérique, orientation ou pour le décrochage scolaire. Ce référent assurerait le lien entre l'administration, l'équipe pédagogique, les équipes de suivi et les référents départementaux.

Pour les AESH, j'ai également été alertée par d'anciennes AVS, qui m'ont confirmé que les années déjà effectuées sous un autre statut se sont pas comptabilisées dans les six ans : elles « redémarrent à zéro » en devenant AESH. J'ai été ravie d'entendre que le ministre avait prêté une oreille attentive à la prise en compte de leur ancienneté.

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