On a le droit de s'interroger sur la relation franco-allemande telle qu'elle se présente aujourd'hui sans que cela signifie que l'on s'oppose à des relations de partenariat économique comme nous en entretenons depuis des années. Il faut arrêter ce chantage affectif, et je maintiens ce que j'ai dit. Cela ne veut pas dire que je n'aime pas les Allemands ni que je ne veux pas travailler avec eux. Simplement, entre amis, on travaille sur un pied d'égalité.