Monsieur le président, tout à l'heure vous avez mis le doigt sur le fait que, quand nous venons assister à ces séances, nous nous sentons un peu seuls pendant longtemps. Quand il y a cinq ou six rapporteurs spéciaux alignés qui parlent chacun d'entre eux dix minutes et que l'on répond à chacun d'entre eux dix minutes, on passe deux heures, finalement, en tant que spectateur. Le risque, c'est que cela soit de plus en plus déserté dans ce contexte-là. Je ne suis pas le seul à le dire, mais nous nous sommes particulièrement ennuyés à certains moments. Excepté pour ceux qui étaient chargés d'un travail, qui doit être sans aucun doute passionnant pour ceux qui le réalisent.