Chers collègues, je vous ferai grâce, moi aussi, de mes deux minutes de temps de parole, et me contenterai d'indiquer que nous voterons la motion de rejet préalable.
Jean-Luc Ratenon l'a très bien dit : outre votre politique du chiffre, c'est une politique globale que nous rejetons, ainsi que toute la misère qu'elle engendre, à laquelle vous semblez complètement aveugles. C'est l'occasion pour nous de réaffirmer que la politique budgétaire que vous menez, que vous avez menée et que vous continuerez malheureusement sans doute à mener est mortifère.