Je ne doute pas de la véracité des exemples que vous venez de citer et j'en prends note. Mais, ce qui m'étonne, compte tenu du fait que vous me parlez de grandes sociétés dotées d'un pouvoir certain, c'est que ces gens savent très bien comment faire pour venir à Bruxelles nous raconter leur histoire et nous donner les éléments nous permettant d'agir. Ce qui m'étonne donc, c'est qu'ils ne viennent pas nous raconter tout cela.
Vous parlez d'éventuelles menaces ou agissements qui auraient une dimension transfrontalière, au-delà de la France, là où il nous revient d'agir en la matière. Je crois que la prochaine fois qu'ils viendront vous dire des choses pareilles, vous pourrez donc les envoyer chez nous.