Vous n'avez pas répondu à la question que je vous ai posée.
Je ne remets pas en question votre travail, même si apparemment, certains n'en ont pas besoin. Je ne remets pas en cause la qualité du data sharing que vous fournissez, même si j'ai eu l'occasion de le voir et je ne sais pas si cela vaut cette somme-là. Ce que je remets en question aujourd'hui – et c'est la question que je vous ai posée tout à l'heure et à laquelle vous n'avez pas répondu – c'est le rapport entre ce que vous réalisez, et le montant que vous facturez.
Tout à l'heure nous avons discuté à huis clos du montant réel du coût opérationnel de CWT par rapport à son fonctionnement et ce qu'il fait, et ce qu'il redistribue ensuite aux enseignes ou aux maisons-mères. Nous sommes sur un ratio, et je ne parle pas de chiffres. Mais on est sur un ratio de 150. Je pense que 150 de ce que vous faites fait partie de vos coûts structurels opérationnels de service. Et que 4950 sont reversés à l'intégralité des maisons-mères qui composent CWT.
Je ne remets pas en question la qualité du travail que vous fournissez. Je me pose la question du montant qui est facturé, parce qu'à un moment donné, quelqu'un paie, et celui qui paie au final c'est le consommateur. Expliquez-moi à quoi servent ces 4950 du montant. Ou est-ce qu'on peut considérer que c'est une marge prise sur la croissance ? Et à ce moment-là, il faut nous dire clairement : nous aidons les entreprises à croître, et comme elles ont de la croissance, nous leur demandons en tant que service de nous aider à développer CWT – et donc Carrefour et les maisons-mères – à l'international, et c'est pour cela que nous leur demandons un montant.