Nous ne considérons pas que nos services sont disproportionnés. Je parle de prestations commerciales. Ce que nous vendons aujourd'hui à ces énormes industriels de l'agroalimentaire, c'est notre empreinte mondiale, qui s'est bien construite sur notre travail de tous les jours dans ces pays.
Et aujourd'hui, il me semble logique de vendre cette empreinte et de permettre à ces industriels de se développer partout où nous sommes présents. Donc, pour nous aujourd'hui, il n'y a pas de disproportion sur nos prestations commerciales. On ne vend pas ces prestations commerciales, on les négocie avec des industriels qui après décident de les acheter. Nous sommes sur une négociation de gré à gré. Nous avons en face de nous des industriels qui sont tout à fait en droit de les refuser. Nous sommes bien dans une négociation de gré à gré. Les industriels qui travaillent avec nous acceptent de payer ces services.
La donnée n'est pas la même pour tous. Vous avez des niveaux de données – on pourra vous l'expliquer à huis clos – qui n'ont pas la même valeur, et qui sont négociés partie par partie.
Dernier point, l'ensemble de nos valeurs négociées repartent dans chaque pays, et peuvent être constructeur du seuil de revente à perte (SRP) de chaque pays. Il n'y a pas de prélèvement sur marge. Cet argent repart dans nos magasins ou repart dans nos pays et peut être constructeur du prix d'achat ou du prix de vente.