Les seuls contacts de CWT sont avec les pays intégrés de Carrefour ou les équipes globales de Tesco, par exemple. Puisque ces décisions se font ensemble. On communique, mais très sincèrement on communique peu sur la période de discussion en définition des services, parce que c'est un peu le jeu de la négociation de gré à gré. En général cela se passe comme cela : l'industriel qui challenge beaucoup les services ne va pas avoir tendance à nous en demander beaucoup, Et évidemment, ce sera toujours trop cher pour lui. C'est là que s'installe une discussion au sujet de ce que nous pensons être le juste prix du nombre de services qu'on est en capacité de réaliser. C'est important. On ne vend pas la lune. Cela ne se fait pas, parce que de toute façon on n'est pas payé.
Par contre, au niveau de la communication, il y a un suivi régulier uniquement avec des sociétés dans les pays du groupe ou un représentant d'un partenaire. Cela va être sur la nature des services, le nombre à faire. On va s'assurer avec l'équipe d'industriels en pays qu'il va y avoir des rencontres, et comme on intervient souvent en amont, les équipes commerciales dans les pays connaissent un cadre clair, ils savent exactement le nombre de contreparties et la nature, le type qu'ils ont à mettre en place. Ils discutent des modalités de détails pour que ce soit adapté aux attentes des consommateurs, aussi bien brésiliens que taïwanais, ou belges. Ensuite, on suit en communication mensuelle l'état d'avancée des réalisations avec l'industriel.