Votre point de vue, monsieur le rapporteur, est extrêmement théorique et juridique, mais ce n'est pas de cette manière que le commerce fonctionne. Il repose sur une discussion de confiance entre deux acteurs – celui qui vend et celui qui achète – qui décident ensemble. C'est ainsi que les choses se passent, pas à coups de lettres recommandées. Ce que je peux vous dire, en tout cas, c'est que l'immense majorité des relations que nous avons avec nos fournisseurs sont bonnes. Je ne dis pas que c'est le paradis, mais nous avons très peu de contentieux et je considère donc que les choses se passent bien.