À Biars-sur-Cère ou à Saint-Laurent-les-Tours, je suis en concurrence avec Lidl – entre autres. J'ai donc tout intérêt à avoir dans mes rayons les marques que je vends toute l'année, si je veux que mon entreprise soit pérenne. Je ne peux pas, demain, m'arrêter de vendre ces marques ; si je n'ai plus ces produits, je ne fais plus de chiffre. Je ne comprends pas où vous voyez un risque pour l'industrie française.