S'agissant de la fin de contrat, je ne vois pas de raison particulière ayant motivé cette rupture. Cela relève d'un libre choix. Le fait que le fournisseur ne souhaite pas continuer ne démontre pas une particulière audace. Peut-être était-ce un moyen de jauger la relation entre les entités. Je suis tenu au secret des affaires, mais je vais m'efforcer de partager, autant que faire se peut, des informations d'ordre général. En revanche, je ne peux divulguer – même si j'aimerais pouvoir le faire – tout ce qui est particulier, unique, nominatif. J'ai une lettre de mon conseil à ce sujet. Je suis en porte-à-faux, car je dois protéger mon client, qui a souhaité travailler avec nous, avant de prendre la décision d'arrêter.
Il en va de même des industriels qui ne travaillent pas avec Coopelec. Je ne vais pas communiquer d'information à caractère personnel. Je ne peux que répéter que des acteurs majeurs n'ont pas contracté avec nous, à ma grande déception. J'aimerais parvenir à les sensibiliser.
S'agissant de la dernière question, Leclerc réalise 95 % de son chiffre d'affaires en France, mais la donnée produite n'est pas liée au chiffre d'affaires ; elle qualifie des produits à partir de demandes d'études particulières déconnectées de l'achat-vente. Les services sont organisés à différents échelons, au niveau européen ; ils sont globalisés et n'ont de sens que s'ils s'inscrivent dans le cadre d'une lecture internationale.