Le principe de Coopelec n'est pas d'accompagner dans la data uniquement l'export, c'est de qualifier l'ensemble de la performance au niveau européen pour les cinq pays. La France les intéresse, tout comme la Slovénie, la Pologne. Je le répète : oui, des industriels découvrent des produits dans nos magasins alors qu'ils ne savent pas que nous les avions achetés par des circuits de grossistes. Lorsqu'ils découvrent cette information, cela peut les amener peut-être à réfléchir à une activation d'affaires avec nous. Je vous assure, monsieur le président, que cela existe même dans les grosses structures, et c'est l'une des illustrations du bénéfice de la lecture des sorties caisse. En faisant de l'achat-vente, en aucun cas on ne peut qualifier une performance en sortie-caisse. L'industriel ne peut pas savoir ce qui se passe au sein du réseau. Il est impossible de modéliser l'organisation des flux, un achat via un grossiste, les destructions de marchandises. Cette information est vraiment nécessaire pour l'industriel et elle lui permet d'activer un plan affiné.