Nous n'utilisons pas la force de vente comme moyen de pression, je dirais plutôt que les fournisseurs font leur travail. Lorsqu'on leur signale un accord international à mettre en place, les représentants internationaux des fournisseurs les transmettent à leurs comptes clé locaux, et ils se chargent de l'exécution de la contrepartie de ce qui est négocié à l'échelon local. J'ai indiqué tout à l'heure que les intéressés ne disposant pas de toutes les clés, nous leur donnons une clé internationale supplémentaire qu'ils doivent mettre en place avec les représentants des associés.
S'agissant de la confidentialité, je rappelle que Coopernic travaille sous contrat de confidentialité avec une clause de non-concurrence, et nos représentants associés coopérateurs participant à la négociation qui travaillent chez nous ont aussi signé une clause de confidentialité. Lorsque le contrat international est finalisé, l'information est transmise à l'ensemble des coopérateurs associés qui sont sous contrat de confidentialité. Ils communiquent alors à leurs représentants locaux les informations d'obligation de contreparties qu'ils ont à réaliser.
Par exemple, une contrepartie doit être réalisée sur une marque d'eau pour l'accélération de l'innovation attendue ; il revient à l'acheteur local de le mettre en place avec son interlocuteur local, et le pourcentage lié au service n'est pas communiqué.