Merci, Madame la Présidente.
Merci à vous deux, Madame la Présidente, Monsieur le Directeur général, pour la présentation de votre organisme et de vos activités, sur un sujet extrêmement sensible, très diversifié, et qui souvent préoccupe nos concitoyens.
Je concentrerai mes questions sur l'aspect de la gestion des matières et des déchets radioactifs.
Vous avez publié à la mi-mai deux études, l'une sur la gestion des matières et déchets radioactifs, à la fois sur l'entreposage à sec et sur les alternatives au stockage géologique. Déjà en 2018, vous aviez rendu un avis concernant les avantages et inconvénients de l'entreposage des combustibles nucléaires usés, à sec ou en piscine. Dans ce nouvel avis du mois de mai, vous indiquez que votre analyse ne fait pas apparaître d'élément rédhibitoire à l'entreposage à sec d'une partie des combustibles usés d'EDF actuellement entreposés sous l'eau.
Je voulais savoir si votre point de vue pourrait faire évoluer les méthodes de stockage choisies par la France, puisque la Suède, les États-Unis, la Corée du Sud ont déjà opté pour une méthode de stockage à sec.
Ma deuxième question portera sur le stockage géologique profond, par rapport à la situation de Bure et du projet d'enfouissement Cigéo. Vous ne vous êtes pas prononcés sur la pertinence ou la faisabilité technique. Je voulais savoir si vous pouviez nous en dire plus sur cette question de la pertinence et de la faisabilité. Merci beaucoup.