Madame la Présidente, Monsieur le Directeur général, je voudrais évoquer plusieurs situations sensibles et préoccupantes, touchant notamment à la sécurité des patients, avec deux exemples qui me viennent à l'esprit : celui de l'affaire des surirradiés de l'hôpital d'Épinal, il y a quelques années, et plus récemment avec le centre de radiothérapie de Metz. Ce qui est souvent pointé du doigt, c'est notamment la mauvaise utilisation du logiciel ONCORUS, par ailleurs, qui n'est pas sûr, et qui est d'autant plus source d'erreurs qu'il semblerait ne pas être adapté ou répondre au cahier des charges, et ne comporte aucune démarche de validation. La sécurité des patients ne tient donc qu'à la vigilance du corps médical : comment un tel établissement –peut-être y en a-t-il d'autres – peut-il recevoir un agrément pour fonctionner, en sachant que la sécurité des patients n'est pas totalement assurée ? Merci.