Cet amendement heurte le pouvoir d'appréciation de l'employeur, qui est le mieux placé pour trouver la solution la plus adaptée au bon fonctionnement de son entreprise. En outre, le dispositif proposé placerait en quelque sorte l'employé dans une situation de non-retour, ce qui paraît disproportionné par rapport aux objectifs poursuivis.