Même avis. J'ajoute que si la surveillance doit être renforcée, c'est peut-être en l'étendant aux polluants émergents, comme l'a proposé un rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) il y a quelques mois, étant entendu que l'impact financier d'une telle extension doit être pris en considération. Aujourd'hui, pour ce qui est des polluants liés aux transports, des particules fines et des NOx, leur détection se fait en France dans des conditions très satisfaisantes, grâce à la combinaison des capteurs fixes et mobiles et de la modélisation. En revanche, si nous devons engager des moyens supplémentaires, ils devront de préférence permettre la détection des polluants émergents, qui sortent du cadre des ZFE mobilité.