Ma question s'adresse à Mme la ministre des solidarités et de la santé.
Madame la ministre, vous affirmiez en avril que la grève aux urgences de plusieurs hôpitaux n'était pas due aux conditions de travail. Aujourd'hui, la moitié des services publics d'urgences sont en grève. Acculée par la colère croissante des personnels soignants, vous présentez en catastrophe un plan en trompe-l'oeil, qui n'est pas à hauteur de la situation, extrêmement tendue, de nos hôpitaux.